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Tableau de bord
Le tableau de bord donne une vision d'ensemble sur le compte grâce à des graphes et/ou des tableaux. De manière génaral 4 couleurs sont utilisées : bleu(neutre), rouge(critique), jaune(attention) et le vert (correcte). De plus, son contenu change en fonction de la categorie du compte :
- Hôpitaux: rendez-vous
- Médecins: rendez-vous
- Pharmacie: rendez-vous
- Laboratoire: rendez-vous
- Patient: rendez-vous, pression artérielle, masse corporelle, taille, glycémie, insuline, température, ...
- 1: Utilisateur connecté : il s'agit d'un menu avec plusieurs options.
- 2: Accéder au contact d'urgence
- 3: Notifications : restez informé sur les événements (rendez-vous, résultat d'examens, ...)
- 4: Langues : sélectionnez la langue d'affichage de la console. Pour définir une langue par défaut il faut la modifier dans vos informations.
- 5: Page en cours : affichage du contenu de la page sélectionnée
- 6: Profil : Niveau de remplissage du profil. Idéalement il faudrait qu'elle soit de couleur verte
- 7: Badges : Affiche les informations importantes et change en fonction de la catégorie (patient, médecin, hôpital, ...) de l'utilisateur.
- 8: Options : Modifiez des paramètres d'affiche (couleur, barre fixe, ...)
- 9: Profil en cours de consultation : Elle correspond à l'utilisateur connecté pour toutes les catégories sauf pour patients et les médecins. Pour ces deux cas particuliers, elle correspond au dossier médical en cours de consultation. Pour plus d'informations Dossier partagé
- 10: Barre de recherche: recherchez dans votre dossier. Le résultat varie en fonction de la catégories
- 11: Interaction avec le dossier d'un patient. Les boutons varient en fonction de la catégorie et des droits d'accès au dossier.
- 12: Liste des dossiers partagés auxquels on m'a donné l'accès
- 13: Profil: section dédiée à l'édition du profil.
- 14: Documentation: lien vers cette page
Profil
Profil
Il est conseillé d'avoir un profil rempli à plus de 60%.
Examens
...
Médicaments
Vous devez respecter la posologie et le mode d'administration fourni par votre médecin.
Statut:
Contact d'urgence
Nous vous conseillons de définir un contact d'urgence. Ce dernier sera contacté en cas d'urgence : accident, hospitalisation, ... décès . Il se compose d'un nom, téléphone et email et figure sur la carte d'urgence du patient. A cet effet, nous vous conseillons de télécharger une nouvelle carte en cas de mise à jour de vos informations.
Ligne du temps
Les lignes du temps vous permettent de voir vos consultations, ordonnances, ... avec une répartition dans le temps
Dossiers partagés
Toutes vos données sont privées et confidentielles mais pour des besoins de consultations ou d'assistance, vous avez la possibilité de partager votre dossier avec un médecin (écriture) ou avec un proche (lecture ou écriture). Pour cela il faut cliquer sur le bouton Partager mon dossier dans votre console et renseigner l'ID du proche. Pour obtenir l'ID il faut se rendre dans informations.
En plus de pouvoir définir le type d'accès (lecture/écrture), vous avez la possibilité de définir une durée en jours ou illimité.
Si un autre utilisateur partage son dossier avec vous ce dernier sera visible dans votre console dans la section Dossiers partagés. Ce dernier affiche les 5 derniers ouverts. Pour afficher plus, il faut cliquer sur le bouton tout afficher.
Vaccins
Retrouvez ci-dessous la liste des vaccins obligatoires recommandés par l'OMS de manière générale et les obligations par pays.
BCG | 0-0 | La vaccination universelle à la naissance par le BCG est recommandée dans les pays ou les milieux dans lesquels l’incidence de la tuberculose et/ou la charge de morbidité de la lèpre sont élevées. Une dose unique de vaccin BCG doit être administrée à tous les nouveau-nés en bonne santé à la naissance, la co-administration du BCG avec la dose de naissance du vaccin contre l’hépatite B est fortement recommandée. |
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Choléra | La prise en charge adéquate des cas, les interventions en faveur de l’eau, l’assainissement et l’hygiène, la surveillance et la mobilisation des communautés demeurent les pierres angulaires de la lutte contre le choléra. La vaccination se veut complémentaire des autres mesures de lutte et devrait être mise en œuvre dans les contextes pertinents dans le cadre de stratégies globales de lutte contre le choléra ou pendant l’élaboration des autres activités. | |
Dengue (CYD-TDV) | La vaccination devra être envisagée comme faisant partie intégrante de la stratégie pour prévenir et combattre la dengue. Les pays ne devront envisager l’introduction du vaccin CYD-TDV contre la dengue que s’ils sont en mesure de minimiser les risques parmi les individus séronégatifs. | |
Encéphalite Japonaise (EJ) | La vaccination contre l’EJ devra être intégrée aux calendriers nationaux de vaccination dans toutes les zones où cette maladie est reconnue comme une priorité de santé publique. | |
Encéphalite à tiques | L’incidence de l’encéphalite à tiques pouvant varier considérablement d’une région géographique à l’autre, voire au sein d’une même région, les stratégies publiques de vaccination doivent s’appuyer sur des évaluations du risque menées au niveau du pays, de la région ou même du district et être adaptées à la situation d’endémie locale. Par conséquent, il est indispensable de mettre en place la notification des cas de la maladie avant de décider des mesures préventives les plus appropriées. | |
Fièvre jaune | L’OMS recommande à tous les pays d’endémie d’introduire le vaccin contre la FJ dans leurs programmes de vaccination. Une dose unique de vaccin antiamaril suffit pour conférer une immunité protectrice contre la FJ tout au long de la vie ; l’administration d’une dose de rappel n’est pas nécessaire. | |
Grippe saisonnière (inactivé tri-& quadrivalent) | Aux pays qui prévoient de lancer ou d’entendre des programmaes de vaccination contre la grippe saisonnière, l’OMS recommande de donner la plus grande priorité aux femmes enceintes. Les enfants ages de < 6 mois n’est pas autorisée et leur protection contre la grippe devra passer par la vaccination de leur mere pendant la grossesse et par celle de leurs contacts proches. | |
Haemophilus infuenzae type b | L’utilisation des vaccins anti-Hib devra s’intégrer dans une stratégie complète pour lutter contre les pneumonies incluant l’allaitement au sein exclusif jusqu’à 6 mois, le lavage des mains au savon, l’amélioration de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement, la réduction de la pollution de l’air dans les foyers et une meilleure prise en charge des cas au niveau des collectivités et des établissements de soins. | |
Hépatite A | La vaccination contre le VHA est recommandée au calendrier de vaccination des enfants ≥1 an si cette vaccination est indiquée compte tenu de l’incidence de l’hépatite A aiguë, du passage de l’endémicité de forte à moyenne et du rapport coût/efficacité de l’intervention. | |
Hépatite B | La vaccination contre l’hépatite B est recommandée pour tous les enfants à l’échelle mondiale. L’administration d’au moins 3 doses de vaccin anti-hépatite B à tous les enfants devrait être la norme pour tous les programmes nationaux de vaccination. Étant donné que la transmission dans la période périnatale et au début de la période postnatale est la source la plus importante d’infection chronique à VHB à l’échelle mondiale, tous les nourrissons (y compris ceux qui ont un faible poids de naissance ou sont prématurés) devraient recevoir leur première dose de vaccin anti-hépatite B dès que possible après la naissance, de préférence dans un délai de 24 heures. | |
Méningocoque (conjugué) | On recommandera les vaccins conjugués de préférence aux vaccins polyosidiques en raison de leur potentiel à créer une protection collective et de leur plus forte immunogénicité, en particulier chez l’enfant de moins de 2 ans. | |
Oreillons | La vaccination anti-ourlienne est recommandée dans les pays disposant d’un programme de vaccination capable de maintenir une couverture élevée par la vaccination antirougeoleuse et antirubéoleuse (à savoir, une couverture supérieure à 80%) et où la diminution de l’incidence des oreillons constitue une priorité de santé publique. | |
Papillomavirus Humain (PVH) | Groupe cible recommandée pour la prévention du cancer du col: les filles de 9 à 14 ans, avant le début de l’activité sexuelle. | |
Pneumocoque (conjugué) - VPC | Les VPC actuellement disponibles sont efficaces et sans danger et sont recommandés pour être intégrés aux programmes de vaccination de l’enfant dans le monde entier. | |
Polio | 0-0;1-1,5;2-2,5;3-3,5 | Dans les pays d’endémie de la poliomyélite et dans ceux très exposés au risque d’importation et de propagation ultérieure de poliovirus, l’OMS préconise une dose de VPO à la naissance (dose zéro), suivie d’une série primaire de 3 doses de VPO et d’au moins 1 dose de VPI. |
Rage | La production et l’utilisation de vaccins développés sur tissus nerveux devraient être arrêtées et remplacées par des vaccins fabriqués à partir du virus rabique préparés en culture cellulaire ou sur œufs embryonnés (VCCOE). Il y a deux 2 grandes stratégies de vaccination pour la prévention de la rage humaine: (i) la PPE qui comprend un lavage soigneux et poussé de la plaie là où l’exposition au virus rabique a eu lieu, ainsi que l’administration d’immunoglobuline antirabique si nécessaire, et l’administration d’une série de plusieurs doses de vaccin antirabique; (ii) la PPrEx qui consiste dans l’administration de plusieurs doses de vaccin antirabique avant l’exposition au virus de la rage. | |
Rotavirus | Il est recommandé de l’inclure dans tous les programmes nationaux de vaccination. | |
Rougeole | L’accès à tous les enfants avec 2 doses de vaccin antirougeoleux devrait être la norme pour tous les programmes nationaux de vaccination. En plus de la première dose de routine du vaccin contenant le virus de la rougeole (MCV1), tous les pays devraient ajouter une deuxième dose de routine de MCV2 à leurs calendriers nationaux de vaccination, quel que soit le niveau de couverture MCV1. | |
Rubéole | Tous les pays qui n’ont pas encore introduit le vaccin contre la rubéole et qui délivrent 2 doses de vaccin antirougeoleux dans le cadre de la vaccination systématique ou des activités de vaccination supplémentaire, ou des deux, doivent envisager d’inclure l’administration d’un vaccin contenant le vaccin contre la rubéole dans leur programme de vaccination. Les pays qui prévoient d’introduire des vaccins contenant le vaccin contre la rubéole doivent étudier l’épidémiologie de la rubéole, et notamment le profil de sensibilité de la population; évaluer le poids du SRC; et faire de la prévention de la rubéole et du SRC une priorité de santé publique. | |
Typhoïde | Des programmes de vaccination antityphoïdique devraient s’inscrire dans le cadre d’autres efforts de lutte contre la maladie, notamment l’éducation sanitaire, l’amélioration des conditions d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène, et la formation des professionnels de la santé au diagnostic et au traitement de cette maladie. | |
Vaccin contenant DTC (DTCCV) | La vaccination précoce des nourrissons par le vaccin contenant DTC (DTCCV) vise essentiellement à garantir une protection rapide contre la coqueluche, car les cas graves et les décès dus à la coqueluche se produisent presque exclusivement durant les premières semaines et les premiers mois de la vie. | |
Varicelle | Les pays ou la varicella représente un important fardeau pour la santé publique devront envisager d’introduire la vaccination antivaricelleuse dans leurs programme de vaccination infantile systématique. Néanmoins, les ressources devront être suffisantes pour atteindre et maintenir durablement une couverture vaccinale ≥ 80 %. Les decisions concernant la vaccination antivaricelleuse des enfants devront aussi prendre en consideration l’impact potential sur l’herpès zoster. |